C'est le souffle court que Billiz laissa tomber l'homme dans la station. En soufflant comme un bœuf, la brune inspira avant de se passer une main dans les cheveux, tandis que son regare se porta sur la tete du Terrien. Faites qunil ne soit pas mort, songeait-elle, inquiète. Parce que malgré tout, il ne fallait pas le tuer ! Et puis en plus de ça, ils avaient des questions à lui poser alors ...
- Il faudrait l'enfermer, non ?
Enfin dispersés, les autres jeunes se remirent à travailler, rognant quand même de mécontentement de temps en temps. Mais Jack put aisément rejoindre sa tente, portant toujours Adèle. Les deux autres se débrouilleraient avec leur sauvage, lui devait s'occuper d'elle.
Il la posa donc avec douceur sur son matelas de fortune avant de mettre l'oreiller qunil s'était fabriqué sois sa tete. Il s'accroupit znfin près d'elle pour, une fois de plus, mesurer son pouls et sa respiration. Et, en soupirant, il ferma les yeux quand il constata que tout etait normal.